Giuseppe VERDI
NABUCCO
L’INSURRECTION DE VERDI
L’un des titres les plus populaires de Giuseppe Verdi revient au festival de la main du Teatro Real. Ce chef-d’œuvre avec un magnifique livret de Themistocles Solera, établi dans l’Ancien Testament et dans l’œuvre Nabuchodonosor de Francis Cornue et Anicète Bourgeois, dépeint l’ancienne Babylone dans toute sa splendeur, et raconte l’histoire d’esclaves juifs qui, soutenus par le prêtre Zaccaria, se battent pour leur foi et leur liberté. Sorti à La Scala de Milan en 1842, cet opéra en quatre actes fut le premier grand succès du compositeur de Busseto, devenant au fil des années l’un des titres incontournables de l’histoire des grands colisées lyriques. La pièce révèle un moment unique dans l’histoire du genre avec le cœur des esclaves hébreux. Va pensiero ; une chanson à la liberté que, au moment de sa création, le public fait sienne comme symbole de la Risorgimento devant la situation qu’habitaient les villages de la future Italie sous la domination de la Dynastie des Habsbourg. Mais l’opéra nous présente aussi le premier grand père, le premier grand rôle féminin et aussi la première approche vocale du baryton avec son propre style et personnalité qui se répétera plus tard parmi d’autres personnages, tels que Macbeth, Rigoletto ou Falstaff. La version de concert que Peralada offrira avec le Chœur et l’Orchestre du Teatro Real sous la direction solvable de Nicola Luisotti, mettra en vedette les grandes voix de George Pétean (Nabucco), Anna Pirozzi (Abigaille) et Dmitry Belosselskiy (Zaccaria). Avec ces personnages, Verdi nous entraîne sur les chemins de la psychologie sans jamais oublier le rôle et la force orchestrale, qui dès le premier acte déroule l’histoire jusqu’à la tragédie finale.
L’un des titres les plus populaires de Giuseppe Verdi revient au festival de la main du Teatro Real. Ce chef-d’œuvre avec un magnifique livret de Themistocles Solera, établi dans l’Ancien Testament et dans l’œuvre Nabuchodonosor de Francis Cornue et Anicète Bourgeois, dépeint l’ancienne Babylone dans toute sa splendeur, et raconte l’histoire d’esclaves juifs qui, soutenus par le prêtre Zaccaria, se battent pour leur foi et leur liberté. Sorti à La Scala de Milan en 1842, cet opéra en quatre actes fut le premier grand succès du compositeur de Busseto, devenant au fil des années l’un des titres incontournables de l’histoire des grands colisées lyriques. La pièce révèle un moment unique dans l’histoire du genre avec le cœur des esclaves hébreux. Va pensiero ; une chanson à la liberté que, au moment de sa création, le public fait sienne comme symbole de la Risorgimento devant la situation qu’habitaient les villages de la future Italie sous la domination de la Dynastie des Habsbourg. Mais l’opéra nous présente aussi le premier grand père, le premier grand rôle féminin et aussi la première approche vocale du baryton avec son propre style et personnalité qui se répétera plus tard parmi d’autres personnages, tels que Macbeth, Rigoletto ou Falstaff. La version de concert que Peralada offrira avec le Chœur et l’Orchestre du Teatro Real sous la direction solvable de Nicola Luisotti, mettra en vedette les grandes voix de George Pétean (Nabucco), Anna Pirozzi (Abigaille) et Dmitry Belosselskiy (Zaccaria). Avec ces personnages, Verdi nous entraîne sur les chemins de la psychologie sans jamais oublier le rôle et la force orchestrale, qui dès le premier acte déroule l’histoire jusqu’à la tragédie finale.
Fiche artistique
Opéra version concert
NABUCCO
Giuseppe VERDI
Dramma lirico en quatre actes
Musique de Giuseppe Verdi (1813-1901)
Livret de Temistocle Solera, basé sur l’œuvre Nabuchodonosor (1836) d’Auguste Anicet-Bourgeois et Francis Cornu, et sur le ballet Nabuccodonosor (1838) d’Antonio Cortesi
Présenté en première au Théâtre de la Scala de Milan, le 9 mars 1842
CORO Y ORQUESTA TITULARES DEL TEATRO REAL
Nicola LUISOTTI, direction musicale
Nabucco, George PÉTEAN
Ismaele, à déterminer
Zaccaria, Dmitry BELOSSELSKIY
Abigaille, Anna PIROZZI
Fenena, Silvia TRO SANTAFÉ
Le grand prêtre, Simon LIM
Abdallo, Fabián LARA
Anna, Maribel ORTEGA